Elli Voigt s’engage dans la résistance à partir de 1943 en assurant le courrier et le transport dans le mouvement communiste de résistance contre le nazisme, l’organisation Saefkow-Jacob-Bästlein. Elle est arrêtée par la Gestapo le 13 juillet 1944 et décapitée le 8 décembre 1944.

L’interprète et traductrice allemande Eva Maria Buch s’engagea contre le nazisme au sein du groupe de résistance de l’Orchestre Rouge. Arrêtée par la Gestapo en 1942, elle fut déclarée coupable et guillotinée en 1943, à l’âge de 22 ans.

En 1938, Ruth Andreas-Friedrich fait partie des membres fondateurs du groupe de résistance “Oncle Emile”, composé d’intellectuels aux motivations humanitaires. Ce groupe cachait des opposants politiques et donnait des faux papiers d’identité.

Hannelore Willbrandt participa aux actions du groupe de résistance au nazisme de la Rose blanche à Hambourg. En 1943, elle fut arrêtée et accusée, puis libérée le 14 avril 1945 par les Alliés avant son procès.

Affectée à un centre de recherche ultra-secret, cette scientifique n’a pas hésité une seconde à saboter ses calculs pour freiner l’expansion nazie.

Plonger dans le passé pour retracer l’histoire de sa famille, élucider des mystères oubliés ou simplement satisfaire sa curiosité : la généalogie fascine de plus en plus d’amateurs. Véritable enquête à travers le temps, elle permet de reconstituer des parcours de vie et de mieux comprendre ses origines. Rencontre avec Aliénor, une passionnée qui nous dévoile les secrets de cette quête identitaire. Du bagne de Cayenne en passant par Paris sous l’occupation Allemande, son voyage dans le temps l’a menée à découvrir des destins hors du commun et des surprises inattendues.

Le 11 mars 1943, Ginette Bernard, fille, sœur et fiancée de résistants Saint-rémois, est arrêtée chez ses parents puis interrogée à Saint-Cosmes, dans les sous-sols de la Gestapo. Alors âgée de seulement 17 ans, elle a su trouver le courage de tenir bon et de ne dénoncer aucun membre de la Résistance.

Le 8 mai 1945, l’Allemagne nazie capitulait, mettant fin à la Seconde Guerre Mondiale, à six ans de terreur, de violence inouïe, de destruction massive et de souffrances indicibles. Si cette victoire fut d’abord celle des armées alliées, elle doit aussi beaucoup à des hommes et des femmes ordinaires, qui, sans uniforme ni commandement, ont osé résister.